À la recherche d'un éthéré

Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2007

En regardant bien le bout de tissu, Crusifyx put remarqué un petit peu de poudre, en très petite quantité, sur le coin de celui-ci.

-Mmm, je ne saurais exactement dire où sont vos compagnons, mes sens ne sont pas si aiguisés que ça, mais je peux bien affirmer qu'ils sont très près. Pour le bout de tissu, ne le laissez pas au despotes, ils sont pourris jusqu'à la moelle, ils feront tout pour essayer de tourner la situation à leur avantage, faire remonter à la surface des souvenirs peu enviables des relations du passé entre les Nébulars et les autres clans. Mais fixez bien le bout de tissu que je puisses voir à travers vos yeux.

Crusifyx s'exécutant, Miyako le contacta seulement plusieurs secondes après qu'il ait longtemps garder le contact visuel avec l'objet.

-Attendez un peu, cette couleur m'est familière, je crois l'avoir déjà vu... mais ne me souviens pas où. Attendez un instant.

Miyako ne laissa plus aucun signe de vie durant près de cinq minutes pour finalement parler à nouveau.

-Cette couleur! J'ai puiser finement dans ma mémoire et je suis certaine que c'est la même que celle du chandail du meurtrier! Malgré le peu de lumière qu'il y avait dans la salle au moment de la tuerie j'en suis pratiquement certaine à 100%. Continuez à fouiller les lieux et essayez de voir ce que vous pourrez en tirer.

une clé bleu... pourquoi une clé bleu... peu importe, elle pourrait servir a quelque chose... un coffre... ou un armurerie... ou l'alcool... Ève devant moi semble me trouver cela méprisant que je fouille le cadavre... je ne réagis pas... il est mort et ce n'est pas par moi donc... je m'en fou un peu... On entre dans une pièce trop éclairer... je mets ma main devant mes yeux par réflexe laissant tellement une belle opportunité pour me faire frapper mais il n'y a personne seulement des plantes... sûrement de la drogue ou quelques chose d'illégals... mais je ne suis pas botaniste...

Je me rapelle de Miss miyako qui disait vouloir nous aiders.... Elle avait peut-être une petite idée s'était quoi et si cette plante avec des effets qui seraient profitables... Les bras croisées, il dit sur un ton normal sa question

-Miyako... est-ce que vous avez une idée s'est quoi ses plantes et si elles ont des effets qui pourraient être interressant... ?

J'attend ma réponse en regardant les plantes... et parfois Ève

-Je ne m'y connais vraiment pas du tout dans ce genre de choses, quelques connaissances générales, mais voilà tout. Je peux reconnaître quelques'unes d'entres elles comme étant propice à la fabrication de drogues, mais sans plus...

Lucas lève un sourcil... dommage mais si cela permet de rendre quelqu'un gelé... ou agir comme un somnifère... ou malheureusement le rendre fou... sa pourrait m'être utile... Je prends une de mes dagues et je coupe quelques parties d'une plante pour en apporter avec moi... je suis peut-être un peu trop ramasseur mais je préfère prendre beaucoup de chose que rien prendre... on ne sait jamais quand on peut en avoir de besoin...

Après avoir pris une partie d'une plante... je me dirige vers la porte et regarde s'il y a une serrure, si elle est bloquer... ou si elle est tout simplement facile a ouvrir...

Je décide de prendre la bourse que j'ai trouvé et regarde à l'intérieur. Je décide d'aller ouvrir toutes les armoires au cas où un autre malfaiteur y aurait laissé quelque chose d'intéressant. Je râcle le fond des armoires de mes doigts quand elles sont trop hautes pour que j'y voie. Je monte ensuite prestement les marches.

Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2007

Ève-Léa trouva 14 graves et deux ampoules remplies d'un liquide rouge semblable, et une autre d'un liquide vert très pâle et opaque. Dès qu'elle ouvrit les armoires, une nuée d'odeurs étranges envahirent ses papilles olfactives. Ils y avaient énormément de flacons et bocaux de petites tailles, quelques-uns étant remplis de liquides différents, parfois incolores. Ils y avaient aussi des sacs de poudre, la majorité était blanche mais il y en avaient de différentes teintes, sans compter plusieurs pots de plastiques remplis de différentes pilules. Cette odeur semblait étrange puisque généralement, les drogues sont plutôt inodores, mais celles qui se présentaient à Ève-Léa semblaient très peu communes. Ces substances étaient par contre toutes protégées par des portes en vitres pare-balles. Elles étaient fermées à clé.

De son côté, Lucas ouvrit aisément la porte de l'escalier qui le mena jusqu'au rez-de-chaussée où il put apercevoir son frère plus loin dans la salle. Lucas s'était retrouvé derrière le bar du night club.

Acquièssant à la demande de miss Miyako je fouille plus. J'agis comme si j'étais le criminel dans la scène que j'ai recréé dans ma tête, faisant tout le déplacements qu'il a fait, regardant attentivement autour de moi à chaque pas...je reste néenmoins alerte aux problèmes extérieur. Si quelqu'un entre je ne veux pas être prix au dépourvu.

je me calme, prend une grande respiration et me concentre sur mon but, je commence a chercher un peu partout

Arrivée en haut à la suite de Lucas, j'aperçois son frère entrain de tourner autour de ce qui est vraisemblablement le lieu du crime. Des éclaboussures de sang constellent le plancher autour d'une petite partie de la scène qui est circulaire et qui se trouve vers le centre du bar. Je vois que Crusifix tient un bout de tissus ensanglanté.
-Qu'est-ce que c'est que ça? Tu l'as trouvé ici? Lui lancé-je. Montre-moi, dis-je en m'approchant de lui.

,N'étant pas habitué au timbre de sa voix je me retourne violement vers Èva-Léa une main sur mon flingue toujours rangé dans mes pantalons.
-Ah...c'est toi, tu m'as fait faire le saut. Tiens, regarde,je lui tends le bout de chandail, je crois que ça viens du chandail du tueur. Du moins c'est c'que miss Miyako crois aussi. J'ai fais une petite mise-en-scène des évenements dans ma tête. Je ne suis pas investigateur, mais voici ce que ça donne.
J'explique ce que je crois qui est arrivé, dans les détails.
-Maintenant je vérifiais si il n'y avait pas d'autre détails...et aussi il y a cette odeur...c'est bizarre. Il ne faut pas que les Despotes tombent sur ce bout de tissu et il nous faut une longueur d'avance sur eux. Donc, faut vraiment trouver une piste. Je pense un peu et j'ajoute T'as trouvé quelque chose de ton côté ?

je m'avance lentement vers mon frère et tout ce que je dis s'est

-De l'argent... une clé bleu... de la drogue inconnu... et des mélanges étranges dans des flacons... rien d'autres d'extraordinaire ...

Je regarde autour de moi et je décide d'aller monter la garde a l'enter de la porte pour savoir s'il y a des personnes qui se dirigent par ici...

Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2007

L'odeur du tissu et la clé semblèrent soudainement sonner des cloches chez Ève-Léa...

-Je pense que ce bout de chandail pourrait avoir une odeur semblable à celle d'une des drogues que nous avons découvertes au sous-sol. On devrait y retourner tout de suite! Si le malfaiteur est un drogué, on pourra interroger les trafiquants à son sujet, dis-je. Tu aurais du me dire que tu avais pris cette clé sur le cadavre, Lucas! Elle pourrait être celle qui permet d'ouvrir les portes vitrées des armoires du sous-sol! Ajoutai-je, me dirigeant vers la porte menant à la cave.

-Whatever, c'est pas comme si on était en danger en ce moment...On y va Lucas?

Sans attendre la réponce je suis la guide. Du même coup je vérifie mon flingue, si le cran de sécurité est monter et combien de balle j'ai dans mon chargeur...8...bien c'est bon, je place le cran pour être paré à tirer. Je garde l'arme en main.

Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2007

Lucas avait à peine fait quelques pas dans la direction de la porte que le groupe put alors entendre des gens à l'entré du bâtiment, des despotes.

-Hey vous, qu'est-ce que vous faites là? Vous êtes pas sensé être ici!

Il y en avait trois et l'un d'eux, celui qui avait parlé, s'approchait de vous en marchant.

y merde... la sensation de vouloir les tuer est forte... peut-être trop forte... j'ai les mains dans mes poches... je tiens solidement mes dagues... son cou... son cou est tellement bien placer... il ne semble même pas se douter que j'ai des armes dans mes poches... malheureusement... je sais que les attaquer sa va attirer les autres Despotes... alors je vais être simplement neutre pour l'instant...

-Et bien nous sommes 4 personnes bien ordinaire ***je suppose qu'Harold nous as rejoint... a moins qu'il préfère etre seul...mp moi au pire je vais éditer ^^ *** qui a été terriblement surpris lors des coups de feux... et par votre intervention... sa nous a fait peur et on a voulu ce cacher... malheureusement je crois qu'on a choisit le pire endroit... mais... vous êtes assurément très bien organiser...

J'avais pris une voix que quelqu'un de déstabiliser aurait eu... bien-sûre tout ce que je venais de dire... je ne le pensais pas s'était un mensonge mais j'espérais que cela aille l'effet que je voulais...

Par contre... après avoir dit cela... je me place de coter... sa lui permet de mieux voir le reste du groupe... mais je regarde mon frère...je le fixe... je lui envoie un clin d'oeil avec l'oeil droit que le despote ne voit pas...s'est pour lui montrer que je suis près a engager le combat... s'il me répond par un clin d'oeil... il accepte de ce faire les despotes avec moi... s'il ne réagit pas... sa veut dire qu'il préfère ne pas ce battre alors je reste tranquille et je retourne la tête vers le despote... reprenant un visage déstabiliser mais gardant mes mains dans mes poches sur mes dagues...

Ah..clin d'oeil...On garde le statue-quo pour l'instant. Je cache mon flingue à l'arrière de mes pantalons en me retournant. Fixant le Despote qui parlait, je cherche une manière de me pousser.

-Quand on est entré, j'ai vu tout ce sang et ça m'a fait peur, dis-je à l'adresse du policier, désignant le sol couvert de traînées rouges foncées. Mais avec toute cette agitation dehors, j'ai pas eu le courage de sortir.
J'essaie de prendre un air de jeune fille apeurée et innocente, négligeant de signifier le lien m'unissant à mes compagnons de mission. Je redoute que les immuables n'attaquent les despotes car ces derniers auraient tôt fait de nous indiquer comme suspects numéro 1 à tous leurs accolytes. Et après-tout, nous sommes sur leur territoire. J'ai envie de filer par où nous sommes venus, mais je redoute les balles qui risqueraient de siffler si j'osais faire le moindre geste de fuite. Je sais qu'un despote malhonnête n'hésiterait pas à tirer dans mon dos. J'adopte le profil bas. Avec de la chance, ils nous feront sortir en tant que simples citoyens. Je croise les doigts pour qu'ils ne me fouillent pas, me rappelant qu'il y a des ampoules de drogues dans la bourse que j'ai trouvé au sous-sol.

Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2007

Le despote ne sembla pas gober un seul traître mot de toute l'histoire que vous lui avez balancé.

-Allez, foutez-moi l'camp, dit-il, vous pointant la porte principale...

Ève-Léa put se souvenir que la serrure des vitres de l'armoire était d'un métal bleu étrange.

Sans me faire prier je dis:
-Ouais, on y va...
Et en faisant signe de la main au groupe, je parts dans la direction que l'homme de loi nous a montré

Voyant nos chances de s'en sortir sans interrogatoire s'effriter, je lance mon sort de confusion au despote le plus près de moi. Je fait aussitôt volte-face et plonge au sol le plus loin que je le peux en direction de la porte menant au sous-sol. Espérons que la surprise fasse hésiter les autres despotes, pensé-je. Je croise mentalement les doigts pour que les tables et les chaises me protègent des balles qui pourraient pleuvoir sur moi d'une seconde à l'autre. Je tente de ramper derrière la porte en appelant Lucas. C'est lui qui a la clé permettant d'ouvrir les armoires. J'essaie ensuite de m'engouffrer dans l'escalier pour courir en bas.
- Lucas, arrive!!!

(j'aimerai savoir exactement où je me trouve par rapport aux despotes et au groupe)

Nombre de messages : 44 Date d'inscription : 17/05/2007

Ève-Léa sauta par-dessus le comptoir du bar, la porte de la cave étant de l'autre côté de celui-ci, tout juste où était Harold (s'il compte bien revenir un jour...) tandis que Crusifyx et Lucas étaient de l'autre côté du bar, 5 mètres plus loin. Le despote quant à lui, était à 6 mètres de distance de Crusifyx et Lucas, donc 11m du comptoir.

Le despote ne sortit pas d'arme, il ne semblait pas en avoir, mais il alerta tout de suite les deux autres qui étaient restés plus loin.

-POLICE! ON NE BOUGE PLUS!

Il n'attaqua personne, attendant sûrement ses collègues.

Ne comprenant pas trop ce qui se passe je pointe le Despote avec mon flingue

-Okay, maintenant tu fermes ta yeule...

La désir de tuer doit se lire dans mes yeux, mais je ne tire pas...je ne veux pas faire plus de merde...juste laisser le temps à cette conne de faire ce qu'elle a à faire

-Lucas, vas-y...

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