De retour au bercail

Ahhh le territoire desposte, combien de fois avait-t-il été içi...il ne le savait pas tant elles étaient nombreuses. En tant que mercenaire-détective, il avait dut s'arrèter plus qu'une fois que loger une balle dans la tête de certain policiers corrompus qui s'amusait à faire passer des armes illégalement au nécrophage et au autres clans. L'asiatique s'en foutait éperdument des despotes et de leur corruption mais il n'aimait pas le fait que cela aille dans les mais des mangeur de chair. Le monde avait bien changé depuis la crise et cela plaisait à Areku, car cela lui permettait de tuer quiconque ne lui plaisait pas. Depuis une semaine qu'il parcourait le territoire Despote discrètement pour recueillir des informations. Il entra dans la bâtiment et tomba nez à nez avec un agent despote. L'idée de se mettre lui traversa l'esprit mais il préfèra parler.

- Konichua Despote-kid...mais quesque tu viens faire içi ? Ah oui question stupide baka que je suis, je suis sur ton teritoire...t'inquiète j'vien pas pour tuer...juste pour vérifier certaines choses...

Il attendit patiement sa réponse.

Un agent s'approcha alors des deux hommes, saluant Lennon:

-Ça fait du bien de te revoir Lennon, on croyait que t'avais foutu le camp, que tu reviendrais jamais. Puis l'agent tourna son regard vers Areku qu'il venait tout juste de remarquer: Tu connais ce bol de riz? ajouta-t-il à l'adresse du despote. Moi pas, ici c'est ma section et les glandeurs d'inconnus dans ton genre j'en ai rien à battre! On est pas dans une sale usine de jaune pauvre pioche alors tu vas me faire voir ton badge et ton matricule ou sinon je te sors d'ici à coups de pied au cul, c'est bien comprit?

Au debut Lennon ne comprenait pas un traitre mot du discourt du chinois. En tout cas il ce la créait, et à fond! C'était surtout loin de lui plaire qu'un petit dealer dans son genre le considère inférieur, du moins c'est ce qu'avait laisser présager ses paroles.
Mais avant qu'il n'ait pu dire quoi que ce soit, sont collèque de la brigade intervint, et dans le bon sens, pour une fois que ce n'était pas lui qui avait les emmerdes...

-Hey le jaune, je sais pas si dans ton coin de sushi on t'a appris la politesse, mais t'es présentement dans le QG des despotes, alors si tu veux pas qu'on t'en colle une, parle normalement et dit nous qu'est-ce que tu fou ici.

Areku n'était guère surpris de la réaction des despotes, lui aussi aurait fait la même chose s'il avait trouvé un type dans son QG. Depuis la crise tout le monde se méfiait de tout le monde et ils avaient raison de le faire. Areku s'expliqua d'abord à la femme pas si mal foutu qui venait d'arriver.

- Di uno je suis japonais...konokuzu ! Je sais, c'est pas vraiment évident à discerner au premier regard et aussi avant de me foutre une raclé Despote-chan, tu devrais plutôt réflèchir. Je ne suis pas un simple dealer et très loin de là. Je suis détective et informateur et j'étais tout simplement venu vous proposez mes services...si vous n'en voulez pas c'est ton choix bakana onna omoe obaka doro ! À aussi je comprend plutôt ben le fait que vous vouliez m'exploser la gueule avec vos jouets mais restons civilisés.

Il détourna le regard vers l'homme et lui dit.

- De toute façon, les despotes ne sont plus ce qu'ils étaient...et ça tout le monde le sais...je crois vivement que vous par contre vous êtes différents, vous ne ressemblez pas aux kusatare auquel j'ai gratifié leur crâne d'une balle...

Et il sortit ses dagues d'un mouvement rapide.

- Si vou voulez la baston par contre...je sais très bien me défendre kuso onore ! Mais je voudrais pas ça...on est tous du même côté et perdre les dernier des gentils despotes me ferait de la peine...moi je veux découvrir les trafiquant et quand sa va arriver ki o tsukero ! Et cela nous serais prolifique pour tout les trois.

Il lanca un clin d'oeil à la femme.

(lol personne a dit que c'était une femme ! ya rien qui indique dans son message que s'en est une, et l'avatar c'est celui du Dm, pas du flic! )


Lennon était particulièrement déprimé par l'attitude du pti jaune. Déjà que son language l'énervait, il ce prenait en plus pour un de leur ami. Mais quel con ce dit-il. De plus il n'avait aucune raison de lui faire confiance pour lui confier une quelquonque mission. Un informateur comme lui prendrait deux secondes à ce faire reperer, et avec la geule qu'il avait, il dénoncerait surement la provenance de sa mission, et les despotes auraient encore plus d'emmerde. Il répondit tout simplement à Areku ;

Pas mon problème ta chienne de vie, va t'arranger avec le patron si tu veux du boulot, et range tes sales couteaux, sinons tu vas vraiment te faire peter la gueule.

L'agente (on va dire que c'était une femme même si c'en était pas une...) pouffa légèrement de rire:

-Je crois que Lennon à raison, tu ferais bien d'aller au poste et voir ce que Marek fera bien de ta proposition, puis elle reprit son sérieux: mais pour le moment je te prierais de dégager, c'est pas un terrain de jeu ici, boyscout, alors fout-nous là paix qu'on puisse faire notre boulot.

D'autres fics avaient commencés à s'intéresser à trois individus qui depuis de tantôt déplaçait pas mal d'air.

-Y'a un problème ici? dit l'un d'eux qui avait une carrure de lutteur.

-Non, ça va Arnaud, laisse tomber, répondit l'agente. Lennon suit-moi, on a une nouvelle affaire qui vient de nous tomber dessus et on aurait besoin d'un dernier homme pour s'en occuper.

Puis la femme prit la direction de son bureau dont elle franchit le seuilde la porte, l'insigne: Mathilda Rowlands, chef de la section trafique d'armes, y était écrit en lettres noires.

(À suivre dans le sujet: Bureau de Miss Rowlands)