Un vent nouveau (suite)

C'est alors qu'un homme portant des lunettes fumées noires et à la longue tignasse blonde attachée en catogan vint s'asseoir à côté de toi, un siège plus loin, à ta droite. Il commanda une bière et ne te regardant toujours pas il dit toutefois clairement à ton adresse:

-As-tu un véritable sens de l'honneur et de la justice?

-Je ne sais pas. Je ne suis qu'un simple citoyen qui mène sa petite vie tranquille.

Samara se demandait pourquoi que cet homme venait de lui parler de ça? Il n'en savais rien, sûrement l'effet de la douce influence le l'alcool qui faisait en sorte qu'il soie plus sociable. Mais pas le temps de nieser avec lui appart si c'était l'homme qu'il recherchait donc il continua subtilement de regarder autour de lui.

L'homme qui était à ta droite échappa un petit ricanement et se leva tranquillement. Il s'approcha alors d'un vieillar totalement ivre, assit seul à une table un peu plus loin.

-Hey, tourne-toi et regarde-moi, dit-il à ton adresse.

Il prit alors brutalement le vieillard par le collet et de façon à ce qu'il relève la tête pour bien voir, le levant à demi de sa chaise. Il sorti alors une arme à feu qu'il lui fourra prestement dans la bouche, et puis, toujours à ton adresse il cria:

-ALORS! DIS-MOI MAINTENANT CE QUE TU FERAIS SI JE TE DISAIS QUE JE M'APPELLE WOLFGANG DIESTRICH, CHEF-ADJOINT DE LA BRIGADE POLICIÈRE D'ATHROCITY, BRAS DROIT DE MAREK DE GUISBORNE, tout en parlant il lâcha le collet de l'homme un instant pour te jeter son badge qui confirmait les avances du despote. Il reprit alors le collet du vieillard, ET QUE JE TE PAYERAIS POUR TUER CET HOMME SANS QUE TU N'AIES À POSER AUCUNE QUESTION CONCERNANT LA RAISON DE CET ORDRE, LE FERAIS-TU? T'AFFIRMANT QUE JE T'OFFRIRAIS PLUS DE 1000 GRAVES POUR CE TRAVAIL EN AYANT UNE PROTECTION ABSOLUE AU NIVEAU DE LA LOI, LE FERAIS-TU? MALGRÉ L'INNOCENCE DE CETTE VICTIME, LE FERAIS-TU???

Il avait un regard démentiel remplit de fureur, il te fixait intensément, tout le monde s'était tu dans le bar, les danseuses ne dansaient plus, les ivrognes ne buvaient plus, tous observaient la scène avec attention, en plus qu'elle impliquait un depsote très haut placé, personne ne vint s'interposer.

-Calmé vous monsieur, vous êtes justement un policier de très haut niveau et j'aimerais que vous vous calmé pour qu’on puisse réglé cette affaire.

Le chef-adjoin de la police était stressant mais Samara gardait son calme face a la situation. Il devait a tout prix rétablir dans l'ordre ses esprits car il venait de s'en prendre a un innocent qu'il tenait par le collet. Il pourrait y être accusé pour désordre public. Ensuite, Samara s'approcha du chef et lui demanda calmement et insister:

-Aimeriez vous venir avec moi au quartier général pour qu'on puisse parlé plus de ce qui vous ronge en dedans de vous au poste de la ville...?

Ensuite, il attendit patiemment la réponse de l'homme.

L'homme qui te faisait se mit alors à glousser de rire, il arrêta puis il se tourna vers le vieillard et lui demanda:

-Qu'est-ce que t'en dis? tout en lui enlevant le canon de la bouche.

-J'en dis qu'il a vraiment l'air d'une tapette! dit-il en riant aussi.

L'homme au cheveux blonds se tourna alors vers Samara.

-Je me demdande vraiment comment tu as bien put faire pour continuer si loin dans ta vie alors que tu la passes dans une ville pareil et en agissant comme tu viens tout juste d'le faire! dit-il, stupéfait. Il se tourna à nouveau vers le vieillard. Du moins, il semble ne pas être un de ces enculés qu'on achète pour 10 graves hein?

-Pour ça, t'as raison, dit le vieux. Mais dit dont petit, vient par ici. Les trois se dirigèrent alors hors du bar tandis que l'activité habuituelle de celui-ci reprit son cours. Le vieillard continua: Nous avons formé, moi et Wolfgang, un groupe qui essaie de faire régner l'ordre dans cette ville, la véritable loi, pas celle d'un enfoiré de chef de police totalement cinglé.

Diestrich continua alors...

-Nous avons établit une sorte de quartier général dans un édifice inutilisé au nord de la ville et nous essayons d'interpeller le plus tôt possible les diplômés de l'académie pour les rallier à notre cause, et on peut voir que tu n'as pas tellement eu l'intention d'accepter l'argent que je t'offrais, donc, tu veux en faire partie? Et si tu veux nous dénoncer à Marek en pensant qu'il t'en donnerait un prime, et bien, ça ne servirait pas à grand chose, il sait que je ne suis pas de son côté, mais je fais partie intégrante du bon fonctionnement de cette ville, je fais aussi du marchandage, simplement que le mien est légal, et que je ne fais pas de trafique humain. Bref, il a besoin de moi pour que son propre marché puisse être proliférant, mais nous, nous pouvons tout de même essayer de minimiser les dégâts que ce détraqué cause par moment. Tu sais pourquoi il a essayer de plomber les gars de la mafia? Ce sont d'autres mafieux d'un clan rival qui l'a payé pour, et il a essayer de s'en mettre plein les poches en les surprenant en plein deal, tout en ayant délibérément mit ta vie en danger sans absolument aucun soucis, ni même protection. Ta mort ne lui aurait pas tellement dérangé, l'argent qu'il pensait faire avec le deal n'était qu'un petit boni par rapport à la paye qu'il a reçu pour ce coup.

Le despote reflichissa quelque instant a la proposition de l'homme. C'était bien comme idée. Samara portait bien son insigne de police et en était fière. Le groupe semblait être honnête, c'est pourquoi il lui dit:

-Oui. C'est vrai... Je pourrais bien tenter de venir dans votre groupe. Marek a fait toute fucker ma mission d'infiltration dans la mafia en faisant cette fusillade. J’étais un simple homme de main qui venait vérifier si tout allait bien quand des coups sont partie de nul part pour tuer les gars. C'est ainsi que c'est terminer ma mission. Mais bon...Je peu bien tenter de venir avec vous quelque temps pour voir de quoi ça a l'air.

Wolfgang se tourna vers toi, le sourire aux lèvres:

-Va falloir que tu y entres pleinement, ou que tu laisses simplement tomber, j'ai pas envie d'un petit merdeux qui s'amuse à jouer d'un côté et de l'autre ok? Alors, tu me donnes ta parole, ou non?

Il te tendit alors sa main droite pour que tu la sers.

Samara était encore hésitant mais il pris finalement sa décision. Il lui serra la main solidement et puis rajouta:

-Oui. Je te donne ma parole.

Le despote dit ça avec assurance vers Wolfgang. Ensuite il descendit sa main et continua a parlé:

-Bon, que fessons nous à présent?

Diestrich eut un sourire en coin en même temps qu'il lui serra la main.

-Suit nous.

(voir sujet: une vent nouveau, suite, dans les ruelles)