Le restaurant Suprême Macaroni

Un homme alla s'asseoir au bar, un peu plus loin de toi.

-Donne-moi une bière rousse, dit-il à la serveuse, qui ne se fit pas trop attendre.

Puis il se tourna, dos au bar, et ses yeux tombèrent sur toi.

-Attention, mais c'est qu'il est chic le monsieur! Il bondit de sa chaise pour aller se poster devant toi, à ta table. Dit-moi, t'es qui toi pour venir avec des fringues pareil dans un petit restaurant miteux, hein?

Il avait le sourire aux lèvres, cynique.

Angoissé, l'homme avait but beaucoup d'alcool par son haleine. Une nausée pris soudain à Samara à cause de cet homme. *Il va tout faire foiré ce gars* se dit-il. L'agent ne devait a tout prix ne rien dire de croche pour ne pas se faire démasqué même si le gars était soul. Donc pour finir il lui répondit calmement sans trop précipité les choses:

-Et toi? T'est qui pour venir me parlé? Je n’ai pas de temps à t’accorder.

Il se raidi d'un coup les main, près a le maîtrisé, car il s'avait que le monde soul cherchait toujours les ennuis.

-Mais c'est qu'elle a des griffes la petite, dit-il, totalement ironique. Tu pouvais facilement te rendre compte qu'il n'était pas soûl, bien au contraire. Hey, les gars! Venez voir ça! Le mec s'est pointé en costard au macaroni! lança-t-il à trois autres hommes, un peu plus loin, pouffant de rire. J'imagine que tu es venu ici pour manger un bon petit spaghetti, parce que tes petites copines t'auraient soi-disant dites que c'est vraiment un restaurant très chic où leur macaroni italien est tout à fait excellent, c'est ça? Il avait mit beaucoup d'accent sur le mot "italien" et tu pouvais apercevoir une teinte de mépris derrière l'horrible sourire qu'il affichait. Les trois autres hommes se levèrent alors de table et s'approchèrent de la scène. Allons, allons, dit-moi, qu'est-ce que tu peux bien foutre ici, hein? hein?? HEIN???

Au troisième "hein" il t'agrippa par le collet en te fixant comme un dément, le sourire toujours collé au visage.

Samara qui se faisait en quelque peu harcelé par les quatre hommes mais il resta calme sans rien faire pour se déprendre de l'homme qui le tenait au collet fortement. Finalement, il fini par leurs dire sur un ton neutre:

-Je suis José Ronaldo. Je suis venu ici car je voulait me trouvé un job...Mon ancien employeur a été Dario de Facendis. Peut-être que ce nom vous dit quelque choses mes chers...

Il plissa les yeux lorsqu'il entendit le nom de Facendis, il semblait s'être calmé mais te regardait toujours avec un peu de dégoût, se curant les dents bruyamment avec sa langue, sous ses lèvres. Il te lâcha alors le collet et parti dans l'arrière-boutique. Il revint un peu plus tard et te fit signe de le suivre. Tu pénétras alors dans une salle plutôt mal éclairée où un homme était assis à la table qui te faisait face, il n'était pas très grand, portait un jeans très ordinaire et fumait une cigarette. Il se leva et s'approcha tranquillement de toi.

-Dit-moi, commença-t-il d'une voix rauque, te fixant dans les yeux, quel était la couleur préférée de Dario?

L'agent stressa que quelque peu devant cette question ridicule. Il savait très bien quoi dire vu que son personnage fictif avait été qu'un simple homme de main. Il ne savait pas la couleur préférer de Danio mais ne voulait pas tenter quoi que ce sois. Finalement il fini par leurs répondre:

- Sincèrement, je ne le sais pas. Je n’étais qu'un simple homme de main. Je n’étais pas un proche qui savais exactement tout sur lui mais un employé. En plus, cette information aurait été d'aucune utilité pour les jobs qu'il me donnait a faire.

Il dit tout ses paroles en fixant droit dans les yeux, comme l'homme qui se tenait en face de lui et qui le questionnait.

L'homme soupira, baissant la tête, puis il la releva, te regardant dans les yeux.

-Je dois te dire que je ne connais pas non plus cette putain de couleur, j'aurais aimé le savoir pour porter un mouchoir de ça couleur préféré à la remémoration de sa mort dans un mois. Bordel, il va bien falloir que je trouve quelqu'un qui le sache... Mais bon, alors tu dis que t'étais un homme de main de De Facendis c'est ça? C'est la première fois que je vois ta petite gueule, au moins t'as le sens du goût en ce qui concerne ton habillement.

Sans que tu es même le temps de cligner des yeux, deux hommes t'avais prit par les deux, sortant de nulle part. Ils t'immobilisèrent rapidement.

-Très bien, maintenant soit t'es un petit con d'agent de police qui a envie de s'infiltrer, soit t'es un con qui faisait vraiment parti des hommes de main de Dario. Mais le problème dans tout ça, c'est que les mecs de Dario, ça fait des mois qu'ils sont venus me demander du travail... Pourquoi toi, c'est simplement maintenant que t'arrive?

Les deux hommes te prennent par la tête et te la frappe brutalement contre la table, te gardant toujours immobilisé, tu sentis ton nez se fracasser sur le coup.

-Pourquoi?

Sans même que tu es le temps de répondre il te frappe à nouveau la tête sur table, tu pouvais sentir ton sang chaud couler sur ta bouche, dans ton cou et jusque sur ton costume.

-Attendez un peu les gars, il faut tout de même qu'il soit en mesure de parler. Allez, raconte-nous ton histoire...

Les coups sur la table était très douloureux en vu des homme fort qui l'immobilisait et qui le frappait. Mais l'agent garda son calme face a tout ça. Soudain, un gros mal de tête lui pris. Il avait un peu la tête penchée et son sang coulait et coulait encore de son nez. Il se releva la tête pour répondre au gars en face de lui qui le questionnait:

-Après la mort de Dario, je suis parti me chercher un travail mais pas dans la mafia pour me refaire une nouvelle vie. Il reprit son souffle quelque seconde. J'ai travaillé en tant que garde de nuit chez un pourri riche mais il ne me donnait pas assez d'argent. J'ai lâché mon ancienne job pour venir voir ici...Si il y avait une place encore. Je vous le jure sur ma parole que j'ai été un homme de main pour Danio et non le contraire...

En finissant ses paroles, il laissa penché sa tête par la douleur qui le fesait souffrir dans son nez.

L'homme s'appuya s'accota sur la table, la main sur le menton, pensif. Puis il lança un nouveau regard vers ses deux gorilles. Ils te prirent à nouveau par la tête mais cette fois-ci, il te posèrent fermement le bras sur la table, tandis que le chef s'approchait, un marteau à la main. Il te regarda dans les yeux un instant, puis il frappa au niveau de ton avant-bras, tu sentis tes os craquer sous le choc. Il te regarda à nouveau dans les yeux, et te frappa encore plusieurs, la douleur était telle que tu en pleurais.

-DIT-MOI POUR QUI TU TRAVAILLES!!!

Puis il te frappa à nouveau, posant encore son regard sur le tien. Après les coups répétés qu'il t'avait portés, tout commençait à devenir flou autour de toi.

Samara qui se faisait donner des coup depuis son arrivé commençait a devenir fatigué a force de se faire battre comme ça. Il était maintenant mou comme de la guenille et laissait penché ses membres supérieurs sur ses côtés par le manque de force qu'il avait. La mafia ne le croyait pas mais si il disait qu'il travaille pour la police, il se ferait tué sur le champ. Samara assaille de levé sa tête pour regardé l'homme et lui dit sur un ton désespérer:

-Je vous l'est dit... Il repris son souffle Je travaillait pour Dario.Il faut me croire...

Le policier, impuissant et souffrant d'énergie, souffrait comme il ne l'avait jamais senti auparavant. Il poussait de petit gisement pour exprimé la douleur qui le faisait souffrir

L'homme lâche alors soudainement sa prise de sur toi et te laisse t'effondrer sur le sol. Puis il se tourne à nouveau vers toi et t'aide à te relever.

-Pardonne-moi petit, il fallait que je sois certain... Il s'éloigna un peu et prit une serviette qu'un homme lui tendit, il se lava les mains du sang qui y avait coulé. Tu ne pourras malhereuseument pas aller à l'hôpital, ils te poseraient des questions et on ne veut évidemment pas attirer l'attention. Mais on a un peu d'analgésiques pour la douleur et puis un ancien toubib travaille avec nous, je l'appelle tout de suite. Pour l'instant, Julio va te montrer un endroit où tu pourras passer la nuit. Désolé pour le costume, sincèrement, j'attache toujours beaucoup d'attention aux miens...

Puis il sortit de la pièce, à la recherche d'un téléphone pour appeler le médecin. C'est alors que deux hommes te prirent par les épaules et te levèrent, t'amenant dans une nouvelle pièce. Tu ne voyais presque rien, tout semblait très flou autour de toi tandis qu'ils t'étendirent sur une surface plutôt confortable que tu pouvais supposer être un lit. Tu sentis une piqûre sur ton bras gauche, à l'intérieur du coude, puis soudainement la douleur disparue, et tu sombras dans un sommeil profond.

Tu te réveillas alors ce qu semblait être le lendemain, il faisait soleil, tu ne savais pas trop qu'elle heure il était, et tu portais des sous-vêtements qui n'étaient indéniablement pas les tiens...

Samara se réveilla en sueur et avec un gros mal de tête. C’était vraiment inconfortable et n'était plus capable de supporté d'autre châtiment comme ceux qu'il avait dû subir il n'y avait pas trop longtemps. Quand il regarda autour de lui, il vit qu'il était dans une petite pièce avec quelques meubles de bois et ne petite fenêtre avec un rideau horizontal blanc.

Il resta couché dans le lit à peu près une trentaine de minute avant de se lever complètement. Quand il se leva du lit, le mal de tête s'intensifia au point de faire quelques grimaces. Samara remarqua qu'il n'était qu'en sous-vêtement qu'il n'était pas les siens. Il décida de sortir de la chambre et d'allé voir si quelqu'un était la et dit dans le couloir où il y avait plusieurs portes:

-Est ce que il y a quelqu'un...?

C'est alors qu'approcha une jeune fille, plutôt mignonne, mais pas plus que ça. Elle ne devait pas avoir plus de quinze ans et lorsqu'elle te vu debout, elle sembla alarmée.

-Nononon! Tu ne dois surtout pas te lever tout de suite, tu as reçu tout un choc à la tête, sans compter ton bras.

Elle t'aida alors à te coucher sur le lit, et te mit ensuite une serviette d'eau très froide sur le front. Elle était assise à ta gauche, et se pencha alors par-dessus toi pour atteindre ton bras droit qu'elle posa sur ton ventre pour qu'elle puisse l'inspecter. Tu pus remarquer qu'il y avait un bandage très épais tout autour, très semblable à un plâtre même s'il était très rudimentaire, il paraissaît plutôt efficace. Tandis qu'au niveau de ton visage, tu remarquas évidemment immédiatement que plusieurs bandages y avait été installés, tu ne voyais que d'un oeil, ne sachant pas si l'autre était devenu inopérant ou bien il était simplement caché par des bandes. Ce que tu pouvais évidemment savoir était que la douleur n'était toujours pas disparue. Ton visage meurtri te brulait, et ton bras était plus douloureux encore.

-J'espère seulement pour toi que tu n'auras pas trop de cicatrice, dit la jeune fille, le docteur a dit que tu n'aurais sûrement pas à t'inquiéter pour ton oeil. Ton bras a été fracturé à plusieurs endroits, mais il semble qu'il devrait retrouvé son état normal d'ici deux mois. Ça fait deux jours entier que tu dors... Désolé, je t'ai pas dit mon nom, moi c'est Emmy. Ne t'oblige pas à me parler, d'ailleurs, je ferais bien de me taire moi-même, dit-elle d'un ton plutôt gêné.

De ce que tu pouvais apercevoir au travers de ton masque curatif était simplement que la pièce était très éclairée, et que la tapisserie avait une couleur beige orangé avec de petits motifs par-ci par-là. Il y avait une odeur agréable de cuisine traditionnelle et une atmosphère confortable, malgré que tout ceci soit ponctué de ta souffrance.

Le despote suivi le conseille de Emmy. Il s'étendit et assaille de se reposer le maximum pour avoir les forces nécessaires pour entamer sa périeuse mission dans l'infiltration de la mafia. Il senti que son œil lui faisait encore très mal et que ses autres blessures aussi. Après de longue seconde a sentir l'air chargé de réconfort et a contempler la pièces bien décoré, Samara regarda la jeune fille qui se tenait toujours au bout de son lit et lui marmonna sans trop savoir si elle allait le comprendre a cause de sa douleur qui l'empêchait en quelque peu de parlé correctement:

-Vous avez un très joli nom. Moi, mon nom est José. Mais j'aimerais bien savoir quelque chose....Combien de temps je doit encore resté ici a me reposé chère?

Samara ne voulait pas perdre son temps précieux qu'il avait a resté couché dans un lit que de savoir les prochains coups de la mafia.Il devait a tout prix savoir au plus vite qu'elle allait être leurs prochains coups et pouvoir retourné faire son rapport dans les brefs délais.

-Je ne sais pas exactement. Ça va dépendre de la vitesse à laquelle tu vas guérir. Mon oncle m'a simplement dit de m'assurer de toujours être présente, du moins dans l'immeuble, au cas où tu aurais un problème...


Huit jours passèrent. Tu appris à connaître les gens qui habitaient cette maison: L'oncle de Emmy était le fils de mr Cairo, le parrain. Ce foyer abritait aussi le père de celle-ci, Rodrigo, qui était le bras droit du fils de Cairo. Sa mère faisait la cuisine et son grand-frère travaillait souvent avec son père, et il ne t'avait pas lâché des yeux toutes les fois où il te voyait avec Emmy. Les gens étaient chaleureux, ils ne discutaient jamais de travail à table. Tes blessures guérirent assez vites, tu avais maintenant pratiquement repris tout tes moyens. C'est alors que Rodrigo vint t'adresser la parole, un peu après le souper, seul dans ta chambre.

-José, on va avoir un travail à faire demain, et nous aimerions que tu sois de la partie. C'est pour un deal et il nous faut tout simplement plusieurs personnes présentes pour pas que ces enculés essayent de nous rouler. Qu'est-ce que t'en dis?

- Bon, très bien! Je suis sur le coup. J'ai eu le temp en masse de reprendre mes forces et mes esprits et une jobinne me ferait pas de tors pour me dégourdir les jambes depuis la dernière fois. Mais j'aurais une question pour toi Rodrigo. J'aimerais juste savoir qui, de nos homme, va être avec nous pendant le deal et avec qui nous allons dealer?

Après qu'il aille posé la question a Rodrigo, Samara s'assit sur le bord de son lit en attendant la réponce de celui-ci en croisant les bras et en le fixant du regard.

Samara n'était pas stressé de la situation. Il devait surtout apprendre sur les coups a venir ? *Peut être que si je découvre avec qu'elle putain de droguer ils deal, les despotes pourons intercepter les deux clans* se dit-il. Maintenant qu'il était belle et bien dans la mafia et qu'il avait dupé les hommes, il devrait faire a croire qu'il était de leurs bord en fesant quelque job avant d'entreprendre de savoir leurs plus haut coups.

L'homme sembla alors un peu amusé.

-Bah, voyons c'est pas important pour toi ça, j't'le dis, t'auras qu'à être présent, c'est tout.

Puis il sortit de la pièce. Il revint alors te voir le lendemain, un peu après le dîner;

-Allez, suis-moi, il t'emmène alors à l'extérieur et entre dans une voiture avec d'autres gangsters, rendu à l'intérieu, il te tend alors un arme. En espérant que tu n'es pas à t'en servir, attend mon signal avant de plomber tout ce qui bouge d'accord?

Vous étiez cinq entassés dans la voiture qui démarra en trombe sans plus tarder, tu ne savais pas exactement où ils se dirigeaient et il y avait une autre voiture du même modèle qui suivait derrière. Vous approchiez de ce qui semblait être une immense décharge. Sinuant entre de multiples amas de débris, vous vous arrêtâtes finalement. En sortant de la voiture, tu pus alors apercevoir que l'autre groupe était déjà là, sûrement des motards ou bien un gang de rue, tu ne pouvais pas vraiment identifier à quel groupe ils appartenaient. C'est alors que tu vis un petit sortir de la deuxièment voiture, cloturé par deux énormes gorilles qui l'accompagnèrent vers celui qui semblait être le chef de l'autre clan. Ils mirent alors chacun une malette sur une table qui semblait sortir de nulle part. Soudainement, des coups se firent entendre, ils venaient d'un peu partout, et ce fut la débandade. Les gens se jetèrent à terre et les homme de main se mirent à s'entre-tuer subitement, mais les tirs n'avaient pas semblé venir de l'autre clan.

Samara se coucha par terre comme les autres membres de son équipe mais il se plaça derrière un amas de débris que la décharge comportait. Il avait solidement l'arme entre les mains que Rodrigo lui avait donner avant qu'il commence la mission, prêt a tiré sur quelqu'un de menacent comme lui avait enseigner l'académie de police. En regardant autour de lui et en sachant pas trop qui avait tiré le premier, il pensa que c'était surment un des membres de la mafia.

*Pas le temps de pensé*se dit-il. Samara se leva pour regarder la fusillade et était sur ses gardes pour tirer quelqu'un. Peut importe qui allait le pointé de son arme, il allait faire feu sans exception sur la personne. En regardant autour de lui et en cherchant Rodrigo, il cria aux membres de la mafia d'un air furieux:

-Mais qui a tiré putain?!?!?

Lorsque tu levas la tête au-dessus de ton petit bouclier de débris, tu pus remarquer des agents de police postés un peu partout qui vous tiraient dessus. Plusieurs mafieux étaient déjà tombés, quelques-uns avaient réussit à se cacher derrière les voitures et tiraient du mieux qu'ils pouvaient. C'est alors que Rodrigo apparut soudainement à tes côtés.

-Mais alors, qu'est-ce que tu fous? TIRES BORDEL!

Il leva la tête au-dessus de votre couverture un instant et tira quelques balles dans la direction des despotes, tu en entendis deux criés.

-Voilà maintenant deux de ces enculés d'moins! dit-il, un sourire au visage.