Point de rendez-vous : l'arrière boutique

Marion envoya un solide coup de pied (coup puissant) dans la porte qui donnait sur l'extérieur, (pas le temps de vérifier si elle est barrée ou non) serrant toujours la main de Lennon pour être certaine qu'il reste près d'elle. (si la porte s'ouvre sous la force de son coup de pied) Elle se rua à l'extérieur en traînant lennon derrière elle, elle n'avait pas eu le temps de vérifier s'il était blessé mais cela pouvait attendre. Elle dégaina sa dague, seule arme qu'elle avait sur elle, elle referma la porte derrière eux, s,assurant qu'encore personne ne les avait suivis à l'extérieur. Sa couverture était fichue mais il semblait bien que Johnny et son autre compagnon l'était également. Tant pis. Elle traîna Lennon plus loin dans la ruelle et le poussa pour qu'ils se tapissent dans l'ombre de quelques décombres qui traînaient proches d'ordures.

Tu as une arme? Garde-la près de toi, interdiction de retourner au poste compris, t'es blessé? T'as le nez cassé j'ai l'impression... On se tire loin d'ici, j'ai des bandages, ce sera plus très long... si ces salauds ne nous suivent pas je t'en ferai un, puis tu t'arrangeras pour atteindre l'hôpital pour soigner le reste, je tiens la main, mais surveille nos arrières avec ton flingue et on longe les murs daccord?

Elle avait dit tout cela très rapidement et le plus bas possible mais s'assura du regard qu'il avait bien compris. Elle savait qu'elle en avait au moins blesser un mais ils avaient l'air corriace. Elle eu une pensée pour Johnny, le sahoris l'avait surement atteint avec sa lame mais elle n'avait pas eu le temps de voir, juste un flash-back d'une giclée. Elle ne put s'empêcher de pousser un juron.

Sans rien ajouté au ordres il suivie la femme comme si sa vie en dépendait, toujours en surveillant constament ses arrières.
Après queques temps en fuite il ouvrit enfin la bouche;
Est-ce qu'on a des noms ? Après un certain d'infiltration t'a du receuillir quelques-uns non ?

Adrian poussa les deux corps qui lui étaient tombés dessus. Il donna un coup de pied sur l'arme de Johnny pour l'éloigner de celle-ci, même sans pieds, il pourrait toujours essayer de lui tirer dessus. Il sortit alors immédiatement la tête du bâtiment pour voir où en était rendu les deux fuyards. Ils avaient déjà fait toute la rue et tournait maintenant le coin, le shaoris n'avait aucune chance de les rattraper maintenant qu'ils s'étaient enfoncés dans les ruelles de la ville. Il se tourna donc vers ses blessés, constater les dommages. Le corps mort de son ami, la tête éclatée, lui donnait envie de vomir tellement il était fou de rage, il en tremblait. Il sauta sur le corps de celui-ci pour vérifier son poul, espérant stupidement qu'il puisse battre encore. Puis il se tourna vers son compagnon, l'épaule blessé, il était aussi abattu que lui.

-Foutons le camp au plus vite...

-On parlera de ça plus tard, pour l'instant, elle sortit son couteau de son étui au niveau de la cheville et déchira avec celui-ci un pan de sa manche, fout ça sur ton nez, sinon n'importe qui pourra nous suivre à la trace. On va commencer par essayer de trouver un coin tranquille plutôt éloigné avant de souffler un peu.

Peu de temps après, vous vous rendîtes finalement compte que personne ne vous avait suivit. Adrian était reparti avec son compagnon afin de le guérir, et vous vous étiez de plus en plus enfoncés dans les ruelles.

(Voir sujet: Deux despotes en cavales, dans les ruelles)